Dans le chapitre précédent, Emma a donné naissance un enfant, une petite Eris qu'elle a tout de suite maudite d'être né fille plutôt que garçon. Barry, le colocataire d'Emma, s'est immédiatement attachée à l'enfant et a lui même mal supporté qu'elle ne soit pas adoré par sa mère. Il se l'ait d'ailleurs mis à froid, déjà que leur relation n'était pas au top de base.. 

Emma dans toute sa splendeur. Des insomnies? 

Emma: Reste sérieuse, un peu, Kaon! 

Ui.. Mais j'ai pas beaucoup d'image aujourd'hui...

Quelques sacrifices de Barry furent nécessaire mais que lui importait de dessiner son environnement, de s'épanouir dans le dessin si Eris devait passer de bras en bras pour éviter d'être en danger. 

Barry: Et bien enfin! 

Chut! Elle dort.

Sous le lit, un oeil jaune surveille. Un seul oeil. Son oeil aveugle fermé comme pour mieux voir ce qu'il observait. Son regard était fixe. Il le savais, c'était proche. Ou plutôt c'était encore proche, ce n'était plus là. 

Piripiri: Tu me surveilles, Kaon? 

La voix de l'animal était comme empreinte d'une certaine malice. Je décidais de le laisser tranquille.  

Dès son réveil, la belle Emma commença à jouer, toute concentrée sur son instrument. Elle avait eu une bonne nuit puisque Berry s'était occupée avec brio de sa fille, ce qui lui avait permis de ne pas trop s'en occuper. D'ailleurs, elle avait trouvé curieux de ne pas entendre de la nuit Barry. D'ailleurs, elle n'avait pas vu avec lui où il dormirait et elle l'aurait senti s'il avait dormi avec elle. Elle comprit qu'il avait sans doute dormi dehors.. S'il avait dormi mais dans ce cas, pourquoi avoir demandé à venir vivre avec elle? 

Quelle importance après tout? Elle se laissa doucement entraîner par le rythme de sa composition et reprit le sourire. 

Joyeuse? 

Emma: Tu veux me faire la morale, toi aussi, Kaon? 

Je ne suis pas là pour ça. Je suis juste contente que tu ailles un peu mieux. Tu finis par oublier Red? 

Elle arrêta aussitôt de jouer et regarda le vide d'un air triste. 

Emma: Non. Non, je n'ai pas oublié Red. Je pense que je ne l'oublierais jamais. 

Et bien, c'est fort dommage. Je ne pouvais pas la réconforter. A l'heure actuelle, elle devait faire son deuil d'elle même et accepter sa fille, ne plus la voir comme une punition, comme un obstacle. Ce n'était pas à moi de l'aider. Mon objectif était atteint à présent. Elle avait une descendance. Cela suffisait. Ça, du moins, c'est ce que je croyais. Je ne savais pas encore que je n'avais pas compris ma tâche à ce moment là. 

Barry arriva en courant. Il devait parler de toute urgence à Emma. Elle grogna aussitôt:

Emma: Pff.. T'es bien le dernier que j'ai envie de voir, toi. 

C'était l'accueil auquel il s'attendait. Tant pis, elle ne le comprenait rien, c'était son problème. Lui n'était pas là pour ça. 

Barry: Ecoute, je sais que j'ai peut être un peu été dur avec toi hier. Je suis contre la maltraitance d'enfants et ça commence de cette manière en général. Je le sais, j'ai travaillé dans un asile et il y avait une gamine folle. Ca avait commencé par le fait que sa mère célibataire et sans diplôme la rejette. Et.. roh, tout ça, ce n'est pas important. Excuses moi de t'avoir engueulé comme je l'ai fait. Je n'aurais pas dû. 

Emma: Tu as travaillé dans un asile de fous? Et tu ne trouves plus de boulot? 

Barry: Je travaillais à la caféteriat. C'était pas important. 

Il hésita. Elle n'avait pas besoin de savoir. Ca la mettrait en danger. Il n'était pas là pour ça. Il était là pour aider à Berry à rendre heureuse Emma. Il ne devait pas s'en faire une ennemie. Sinon, il ne pourrait pas.. Il devait assurer le bien et la sécurité de l'enfant. 

Barry: J'en ai trop dit, de toute façon. Ce que je veux dire, c'est que le fait de rejeter Eris ne pourra rien donner de bon. Je sais que tu as tes problèmes mais elle a besoin d'une mère, pas d'une bourreau. 

Emma: Je ne vois pas en quoi ça me concerne. 

Barry: Et bien, parfait. Je dois t'emmener quelque part. 

Emma: Et si je ne veux pas venir? 

Barry: Et si c'est là? 

Emma: Oh! Ca a l'air génial! Je veux bien venir! 

Barry, pense: Pff.. Il faut pas grand chose pour amadouer une jeune femme. 

Profites de son innocence, tiens, sadique! 

Emma: Ca va être la fiesta du siècle, en plus! T'aurais dû me dire plus tôt, on y serait allé.. 

Barry: Plus tôt? Tu me hais et, en plus, on se connaît depuis deux jours et toutes les discussions qu'on ait pu avoir, c'est pour nous disputer. 

Emma: Et voilà, tu recommences avec les leçons de moral! 

Barry: Je n'ai rien.. 

*hum* Les enfants? Arrêtez de vous disputer pour rien! Fais tes au revoir, Emma, on y va. On va être en retard sinon! 

Emma: Oui, tu as raison, je vais faire autre chose, pas question de rester une minute de plus avec lui! 

Emma prit sa brosse et alla voir le chat. Tout content de voir sa maîtresse, l'animal se frotta contre elle alors qu'elle lui brossait le poil. L'animal se mit à ronronner. 

Emma: Je vais partir un temps, Piripiri. Je ne serais pas là. Prends garde à ce que Berry te nourrisse bien et à ne pas la mordre, hein. 

Piripiri miaula comme si elle avait compris ce que disait sa maîtresse, ce qui déstabilisa celle ci. Barry l'appela: 

Barry: On y va, Emma? Je ne vais pas attendre toute la journée! 

Emma: Oui, oui, j'arrive! 

Et alors que partait Emma et Barry, Eris se reposait. Depuis sa naissance, elle n'avait pas eu le droit à un seul câlin, à un seul regard de la part de sa mère. Et pas d'au revoir cette fois ci, donc. 

Piripiri: Et, dis, Eris, tu me comprends, toi? 

Bien sûr, le chat ne reçut pas de réponse. Il n'était pas surpris. Il en déduit: 

Piripiri: Tu n'es peut être pas aussi unique que je le pensais. Ou alors c'est trop tôt. 

Non, tu n'as pas tord, c'est ça? Humains et animaux sont censé pouvoir communiquer, c'est ça? 

Le pelage de l'animal se hérissa et il reprit son déjeuner en m'ignorant alors que j'allais rejoindre Emma et Barry..  

~Fin du chapitre 02~

Dans le précédent chapitre, Barry a prévu d'emmener Emma à un endroit et... c'est tout... 

Un être était sorti du portail alors qu'Emma s'y était approchée, à la demande de Barry. En voyant la belle, cet humain habillé de couleur lumineuse, eut un haussement de sourcil mais il fallut un regard à Barry à côté pour soupirer: 

Erwin: Une amie de Barry? Dans ce cas, je veux bien vous donner un amalnach du temps. 

Emma: Amalnach du temps? 

Erwin: Barry vous expliquera. Il aura plus de patience que moi, je pense. 

Barry s'approcha et annonça: 

Barry: Allons y, entre dans le portail. 

Une nouvelle fois, Emma s'avança vers le portail. Elle avait peur. Elle demanda: 

Emma: Un autre gars va sortir? 

Barry eut un petit rire amusé et lui dit, doucement: 

Barry: Non, Erwin est le seul voyageur du futur régulier. 

Erwin: Le seul.. le seul.. 

Barry: Oui bon, presque..

C'est toute surprise que la jeune femme se retrouva dans le futur. C'était différent de ce qu'elle avait imaginer. On devait être très très loin dans le futur. Barry lui, était content de voir que sa présence n'avait pas altéré le cours du temps depuis la dernière fois qu'il y était allé. 

Emma: On est où? 

Barry: D'après toi? Où pouvons nous êtes? Au centre communautaire, là où les voyageurs du futur ont un logement. 

Emma: euh.. On va devoir rester ici tout le temps? Pour pas risquer de changer le futur. 

Barry: C'est ce qui est marrant, le futur peut être changé, tout le temps. On ne sait jamais sur quoi on peut tomber. 

Emma: Tu viens souvent ici? 

Barry: Pas vraiment. C'est la troisième fois. La première, j'étais enfant mais peu importe. Sur ton amalnach, il y a l'adresse de tes descendants, de tous tes descendants. De ta trace sur cette planète, dans l'avenir. Je vais aller voir les miens.. Je me demande s'ils ont changé depuis la dernière fois. 

Magnifique maison qui se profile devant nous! Tu dois avoir de sacrés descendants.. 

Emma: Peut être qu'ils portent le deuil. 

Moi, je pense surtout que ce sont des amich (Merci Maheïna) et j'aime pas les amlish! C'est moins interessant pour nous~~

Emma: Je m'en fiche, ce sont mes descendants..  

 Finalement, ils n'étaient pas là et Emma dû se contenter de discuter avec eux à partir du numéro que lui avait donné son amalnach. Au final, elle n'était pas mécontente, la femme à qui elle parlait avait l'air très gentille, quoi qu'un peu distante. Comme quoi, sa trace sur ce monde était plutôt positive. 

N'allez pas croire pour autant que Barry ait resisté à l'envie d'aller voir ses descendants à lui aussi.. Il ne fut néanmoins pas très bien reçu de son côté.

Eric: Allez vous-en! Je ne veux plus vous voir traîner devant chez nous! 

Barry: Mais enfin, Eric! C'est la seconde fois que l'on se rencontre! Tu m'aimais bien, non? 

Eric: Papa m'a dit de ne plus t'ouvrir. Vas-t'en! Laisse nous tranquille! 

L'enfant n'attendit pas plus longtemps pour partir, quitter cet inconnu en verrouillant la porte. Il se réfugia dans sa salle de bain mais il remarqua que l'homme n'était pas parti, il était toujours là. Tôt ou tard à force de rester, il découvrirait la vérité. Il découvrirait qui il avait engendré.. 

Il finirait par savoir ce que sa famille cachait, ce qu'elle prévoyait. Et, pire encore, il découvrirait qu'Elle est vivante et prête à se venger, à se venger en détruisant une bonne fois pour toute le monde. Non, il ne devait pas savoir. Il devait mourir ignorant tout. Et le seul moyen de protéger ce secret serait de l'empêcher de revenir. Il lui avait déjà ouvert. Il avait déjà vu en eux une descendance optimale alors pourquoi les harceler? Pourquoi vouloir à tout prix les revoir? Eric était le gardien à présent. Lorsque sa famille n'était pas là, il empêcherait Barry d'entrer, de fouiller et, au besoin, il le tuerait lui même. Leur destin était assuré de toute manière. Ils n'avaient pas besoin de lui à présent. 

Emma était rentrée. Déçue. Elle était si déçue de ne pas avoir pu rencontrer ce jour là ses descendants. Déçue que cette machine, au lieu de lui donner une bouillie de poisson comme elle lui avait demandé lui ai dit en l'arrosant généreusement: 

Machine: Je n'ai pas compris votre demande! Voici le plat que je vous recommande: Spaguetti et ses legumes. Bonne appétit, madame. 

Emma n'était pas d'humeur à discuter avec une machine. Elle retira un peu de l'eau qui dégoulinait de son vêtement et prit le plat qu'elle posa sur le comptoir, un peu dégoûtée. Elle n'avait plus si faim, après tout.. 

Elle enclancha la boule ordinateur et surfa à la recherche d'information sur sa famille. Elle éveillait chez elle une sorte de curiosité. Qui étaient-ils? Elle ne trouva pas grand chose et il fallut que Barry lui propose de manger avec lui pour qu'elle lâche son engin. Dépitée de n'avoir rien trouvé de très interessant. A croire que sa famille était normale, sans problème. 

Barry: Tu as pu rencontrer tes descendants? 

Emma: Non. Ils n'étaient pas là. Et toi?  

Barry: Bof, ce sont les mêmes que la dernière fois, d'après ce que j'ai vu. Pas très interessant, donc. En plus, ils n'ont pas voulu m'ouvrir. 

Emma: Pas voulu t'ouvrir? 

Barry: Ca les énerve que je vienne les voir, visiblement. Moi qui pensais qu'ils m'aimaient bien...

Emma ne s'interrogea pas sur les raisons ou autre. Elle s'en fichait. C'était son affaire, elle n'y était aucunement liée. Elle, elle attendait sa famille. Elle voulait la voir. Il le vit et rebondit aussitôt: 

Barry: Tu sais, celle qui te donnera ces descendants, ce sera Eris. Et la façon dont tu agiras avec elle influera sur sa descendance. 

Emma: Je ne suis pas idiote! Mais, vois tu, ma descendance est en parfait état. Pas de présomption de meurtre ou autres. Rien du tout. La famille parfaite. Comme quoi.. 

C'est au moment du coucher que nos deux personnages se rendirent compte qu'une seule chambre restait libre dans le centre. Barry et Emma n'échangèrent pas un mot, trop crevé de leur journée pour débattre quand à qui irait dans le canapé. Ils prirent toutefois soin de rester chacun de leur côté pour ne pas déranger l'autre. 

~Fin du chapitre 03!~

Dans l'épisode précédent, Emma n'a pas pu rencontrer ses descendants. Ils étaient occupés. En revanche, ceux de Barry ne l'étaient pas mais ont refusé de le voir, cachant un quelconque secret que nul ne doit découvrir.. 

 

La journée commença devant la glace pour Barry. Il travaillait assidument son charisme. Avec la célébrité de son hôte, il avait gagné une étoile de célébrité et il devait savoir à présent se comporter, même si à titre de comparaison, il ne pouvait qu'être meilleur qu'Emma. Lui ne tomberait pas enceinte de n'importe qui et saurait se tenir devant les paparazzis! Il réprima ses pensées d'un grognement: 

Barry: Berry t'a dit d'être responsable! Donc tu te calmes et tu penses que, sans toi, Eris va finir par dépecer son cochon d'Inde pour en mettre le contenu sur le papier peint de la cuisine! 

Pour la seconde fois, Emma se retrouva face à la porte de ses descendants. Elle soupira et sonna. Elle ne savait à quoi s'attendre, si ce n'est à une famille bien sous tout rapport. Sans doute un couple avec un ou deux enfants, qu'elle prendrait dans ses bras et qu'elle serrerait contre elle. Ils seraient heureux, l'appelerait "tata" alors que leurs parents demanderaient qui elle est. Et elle seraient heureuse de se dire leur ancêtre. Elle aurait de quoi être fière. 

La porte s'ouvrit enfin.. 

Un vieillard en sortit. En la voyant, il sembla comme étonné. Il la serra contre lui en murmurant: 

Vieux: Grand mère.. Ce n'est qu'une façade, ce câlin. J'aurais tant à te dire et si peu de temps pour le faire. Rentrons. 

Elle fut étonné qu'il sache qui elle d'un simple regard mais ne s'en éprouva pas plus que ça. Elle était célèbre, sans doute nombre de photos d'elle circulaient. Etait ce vraiment important? Ils échangèrent un bref regard, qui lui glaça le sang et, lorsqu'il se décida à entrer, elle le suivit. 

 

Emma: Donc qui sont mes descendants? Vous avez une famille? 

L'homme bailla. Il répondit d'une voix lente, pleine d'un certain mépris: 

Vieux: Ce qui vous intéresse, c'est votre famille? Non, bien sûr que non! Soyez honnête avec vous même. Ce que vous voyez dans le futur, c'est votre trace. Il n'y a plus que moi et ma femme mais bon, puisque vous voulez savoir qui est ma famille, je vous dirais tout. 

Mirabelle! Tu n'es pas morte! 

Mirabelle: Kaon? Je t'entends à nouveau? Alors que tu as disparu lorsque mon mari s'est fermé à toi? 

Ton mari n'a jamais été un génie. 

Le regard de Mirabelle se fit triste. Oui, il n'était pas un génie. Sa famille était l'une des pires de Bridgeport et toute adoption leur avait été aussitôt refusées. Ils avaient vécu sans enfant. 

Mirabelle: Empêche le de tout dire. 

Je ne peux plus, tu le sais aussi bien que moi. 

Mirabelle: Mais si Emma sait, elle risque de tout changer. 

C'est ce que nous voulons toutes les deux, Mirabelle, non? 

La vieille femme ne répondit pas. Elle savait que j'avais raison, elle ne pouvait pas contrer cela. Elle savait qu'elle serait différente, elle savait que son Patrice n'existerait plus et, par dessus tout, elle savait que Barry, qui avait eu son rôle à jouer dans la descente d'Eris, aurait le rôle contraire à jouer, cette fois ci. Ou du moins, elle l'espérait.. 

Emma: Mais bien sûr que non, je ne m'en fiche pas de qui est Eris. C'est ma fille, je l'ai mise au monde et euh.. 

Patrice: Laisse tomber. Ton inconscience face à ce que deviendra Eris te condamnera et tu seras exécutée le jour même du suicide d'Eris et de ma naissance. Notre famille sera interdite d'enfants et je serais stérilisé chimiquement. Tu auras condamné ta lignée. 

Emma: Exécutée? Par qui? Juste parce que je n'ai pas été une très bonne mère. 

Patrice: Si seulement tu n'étais qu'une mauvaise mère. Tout ce que tu penses ne concerne que toi. Parce que Kaon t'a mise en avant, elle a fait en sorte que tu ne vives pas trop mal, a mis sur ta route Berry qui ne voulait que ton bonheur, Barry le sentimental. Elle a fait exécuté Red pour toi. Pourquoi? Simplement pour que tu vives bien, pour qu'Eris vive bien et du coup, tu n'as toujours pensé qu'à toi! Tu as été égoïste toute ta vie! Maintenant sors de chez moi avant que je ne décide une bonne fois pour toute de te chasser de mon époque! 

Emma sortit tristement de la maison. Ce que lui avait dit son descendant l'avait grandement fait réfléchir, plus que ses disputes avec Barry ne l'avait jamais aidé. Oui, elle était égoïste, elle s'en rendait bien compte. Depuis, sa rupture, elle n'avait toujours pensé qu'à elle-même. Cette enfant, elle l'avait rejeté parce qu'elle ne lui donnait même pas l'espoir de se remettre avec Red alors qu'elle n'avait rien demandé. Elle était née comme on le lui avait demandé, la jeune femme n'avait pas le droit de l'abandonner. Malgré tout, un certain dégoût la prenait face à son enfant. Son chemin du retour fut pensif et elle ignora totalement Barry lorsqu'il chercha à lui parler au centre communautaire. 

~Fin du chapitre 04~